500 exemplaires étaient programmés, numéro sur l'aile avant droite... oui mais voilà ... seulement 267 M35 construites... alors pour faire bonne figure il a été décidé en haut lieu d'oublier quelques numéros de temps en temps... voilà voilà ... et après vous expliquerez à vos enfants qu'il ne faut pas tricher à l'école...

On notera la vignette datée de 1972/1973.

Pour rebondir sur le message laissé par Tonton Jérôme hier à propos du patron de « l’usine étoile » qui roulait en Citroën M35 ( l'incroyable prototype à moteur à piston rotatif en essai de longue durée entre les mains de clients sélectionnés), j’en ai croisé un exemplaire cet été... Ce n’était évidemment pas dans la rue comme à la grande époque mais dans le Show Room de l’Entreprise Méhari Club de Cassis, c’était la n°417… on en reparle demain.

Je vous donne rendez-vous sur elcamino137 cet automne, chaque mercredi, pour revenir sur notre traditionnel périple estival : le Dabel Tour.

On débute la série de clichés pris au hasard des 1500 kilomètres de route par cette étape en Vendée, à Fontenay-le-compte. Les ailerons de notre fidèle 404 collent parfaitement à l’architecture de « l’usine étoile » dessinée par le peintre Georges Mathieu en 1967…

Dans cette ancienne usine étaient fabriqués des transformateurs électriques.

Par curiosité j’ai jeté un œil par une fenêtre en me demandant ce que pouvait contenir une pièce situé à l’extrémité d’une des pointes de l’étoile… il y avait… un coffre-fort…vide. Tout un symbole.

Si les vide-greniers sont généralement les antichambres des déchèteries, on trouve parfois de petites pépites comme ce Combi Split, pick-up simple cabine en plastique, vraisemblablement daté des années 60. Un petit véhicule de livraison toujours pratique pour les tâches quotidiennes.

Cet été, cette ingénieuse remorque au faux air de caravane Airstream était stationnée sur le Boulevard près de la Gare… Je n’ai pas d’info sur la chose… elle était vide… et avait disparu le lendemain. Prototype d’un projet à grande échelle ? acte isolé ?... (La Rochelle (17) – Août 2016)

Samedi c’était une carte postale de Fouras, j’y étais justement hier soir pour prendre le bateau pour l’Ile d’Aix où il y avait un excellent concert de Sanseverino qui chantait notamment l’Histoire d’Henri alias « Papillon » embarqué un jour à tort à Cayenne depuis le port voisin de St Martin de Ré…

On était du côté de Dijon samedi dernier, là on va pas loin…

Une dernière image pour en finir avec le thème du Musée de St Trop sur elcamino137 : Le parebrise d’une Méhari transformé en écran TV, rappelle la fameuse scène du «passez-moi le volant !» d’un des 6 films de la saga des « Gendarmes de St Tropez », elle tourne en boucle du matin au soir, tous les jours... pour le plus grand plaisir du personnel de l’accueil du Musée… Courage…

A dernier niveau du Musée de la Gendarmerie et du Cinéma de St Tropez, une Simca P60 et une 2CV sont mises à la disposition des visiteurs pour une simulation d’ambiance de Route Nationale 7, grâce notamment au film projeté au mur… Les portes ouvertes et les volants accueillent un jeune public attentif, respectueux, bien élevé… ou pas, qui lui mériterait sur le champ un retrait de Permis de (bonne) Conduite.

Une opportunité d’escapade à St Tropez cet été, le temps d’un après midi, ça ne se refuse pas… Ambiance particulière dans cette bourgade mondialement connue où je n’avais jamais mis les pieds. Rare endroit sur la planète où, le jour, les Louis Vuitton se mêlent aux Véronique Décathlon en toute connivence… On est parti avant les nuits Tropéziennes mais pas sans visiter le port avec ses yachts et LA gendarmerie qui s’est refait une beauté dernièrement.

Un niveau du musée est consacré à la Gendarmerie Nationale et les autres aux Films de Louis De Funès. A visiter absolument, belle scénographie et témoignages, notamment de Sœur Clotilde qui avait marqué mon enfance avec sa 2 chevaux sur les routes sinueuses de la Côte d’Azur…

(Illustration : copyright Monsieur Z)